Citation de Jean-Christophe Grangé

“Ce qui le choquait aussi, c'était la misère, la lâcheté des bourreaux. Si on tuait, alors on devait accepter d'être tué soi-même. N'accorder aucun prix à sa propre existence. Mais non. Les oppresseurs étaient toujours cramponnés à leur pauvre souffle.”

― Jean-Christophe Grangé

Source:
Miserere

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Ce qui le choquait aussi, c'était la misère, la lâcheté des bourreaux. Si on tuait, alors on devait accepter d'être tué soi-même. N'accorder aucun prix à sa propre existence. Mais non. Les oppresseurs étaient toujours cramponnés à leur pauvre souffle. - Jean-Christophe Grangé

Autres citations de Jean-Christophe Grangé

“Mais il y aura toujours les apôtres de la bonne conscience. L'immense armée de ceux qui ne font rien et jugent toujours. Sans offrir la moindre solution.”

― Jean-Christophe Grangé

Source:
Miserere

“Quand on a épuisé tous les possibles, que reste-t-il ? L'impossible.”

― Jean-Christophe Grangé

“Dieu n'intervenait pas sur terre. Il nous avait laissés avec les moyens du bord. Il avait livré Son message, ainsi que la liberté de cheminer jusqu'à Lui. À nous de résister aux tentations, de nous arracher à la nuit. En un mot, de nous démerder.”

― Jean-Christophe Grangé

Source:
Le Serment des Limbes

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Jean-Christophe Grangé

Naissance: 15 juillet 1961 (64 ans)

Biographie: Jean-Christophe Grangé est un journaliste, reporter international, écrivain, scénariste né le 15 juillet 1961 à Boulogne-Billancourt. Il est l'un des rares écrivains français dans le domaine du thriller à s'être fait un nom aux États-Unis.

Citation du jour

“La vie de tous les jours, l'emploi de son corps et de son temps, l'usage des plaisirs et les techniques de soi, voilà le fond de toute quête philosophique.”

— Michel Onfray

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