Citation de Philippe Meirieu

“Les grandes personnes et les enfants ne peuvent pas se comprendre facilement. c'est comme s'ils appartenaient à des espèces différentes.”

― Philippe Meirieu

Source:
Korczak : Pour que vivent les enfants

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Les grandes personnes et les enfants ne peuvent pas se comprendre facilement. c'est comme s'ils appartenaient à des espèces différentes. - Philippe Meirieu

Autres citations de Philippe Meirieu

“La violence diminue peu à peu. Les mots remplacent progressivement les coups.”

― Philippe Meirieu

Source:
Korczak : Pour que vivent les enfants

“Quand on les prend au sérieux, même les enfants les plus terribles finissent toujours par se montrer dignes de la confiance qu'on leur accorde.”

― Philippe Meirieu

Source:
Korczak : Pour que vivent les enfants

“L'émancipation est bien plutôt dans ce mouvement difficile par lequel le sujet s'approprie des objets culturels qui lui permettent de penser le monde autrement que comme un ensemble de situations insaisissables ; elle est aussi dans tout ce que cette appropriation autorise, dans le fait qu'elle rende le sujet auteur de sa propre intelligence, capable de l'exercer en dehors des dispositifs et de la présence de son éducateur, capable de s'arracher à la dépendance de ses maîtres et aux facilités de la reproduction mimétique.”

― Philippe Meirieu

Source:
Le Choix d'éduquer (1991), Philippe Meirieu, éd. ESF, coll. Pédagogies, 1991, p. 131

Toutes les citations de Philippe Meirieu

Philippe Meirieu

Naissance: 29 novembre 1949 (75 ans)

Biographie: Philippe Meirieu, né le 29 novembre 1949 à Alès, est un chercheur et écrivain français, spécialiste des sciences de l'éducation et de la pédagogie. Il a été l'inspirateur de réformes pédagogiques. Il est actuellement vice-président de la région Rhône-Alpes, chargé de la formation tout au long de la vie.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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