Citation de Bernard Maris

“Entassés dans des cellules payables en dix, quinze ou vingt ans avec une amande mensuelle pour délit de pauvreté sous forme d'intérêts, les condamnés à la consommation perpétuelle seront autorisés à une promenade quotidienne devant la télévision.”

― Bernard Maris

Source:
Antimanuel d'économie : Tome 1

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Entassés dans des cellules payables en dix, quinze ou vingt ans avec une amande mensuelle pour délit de pauvreté sous forme d'intérêts, les condamnés à la consommation perpétuelle seront autorisés à une promenade quotidienne devant la télévision. - Bernard Maris

Autres citations de Bernard Maris

“A l'économiste inconnu, mort pour la guerre économique, qui toute sa vie expliqua magnifiquement le lendemain pourquoi il s'était trompé la veille, à tous ceux, bien vivants, qui savourent le mot gratuité.”

― Bernard Maris

Source:
Antimanuel d'économie : Tome 1

Citations d'autres auteurs

“On ne tire rien de rien, le nouveau vient de l'ancien, mais il n'en est pas moins, le nouveau.”

― Bertolt Brecht

“Voyager, c'est demander d'un coup à la distance ce que le temps ne pourrait nous donner que peu à peu.”

― Paul Morand

“Rien ne fait plus souffrir que d'aimer. Rien. Il faudrait ne pas aimer pour ne pas souffrir.”

― Yasmina Reza

“Ceux qui n 'ont rien ne cesse de se deplacer, comme si leur sort pouvait etre meilleur ailleurs.Ils preferent ignorer qu'au terme du voyage ils vont retrouver sous une nouvelle forme le vieux probleme, ce membre de la famille qu'on redoute d embrasser.”

― Markus Zusak

Source:
La Voleuse de livres

“Ce qui compte c'est se libérer soi-même, découvrir ses propres dimensions, refuser les entraves.”

― Virginia Woolf

Bernard Maris

Bernard Maris

Naissance: 23 septembre 1946

Décès: 7 janvier 2015 (à 68 ans)

Biographie: Bernard Maris, né le 23 septembre 1946 à Toulouse, est un économiste, écrivain et journaliste français.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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