Shirley Hazzard (2 citations)

“Quelle sensation neuve, surprenante, que de susciter un tel plaisir rien qu'en arrivant dans ce lieu obscur. Pour eux comme pour lui. Pour elle. C'est pour cela que je suis revenu, pour être aimé ainsi.”

― Shirley Hazzard

Source:
Le Grand Incendie

“Les gens affirment que le temps diminue la peine — il faut bien qu' ils disent quelque chose. Ils ne comprennent pas que c' est justement ce qu' on redoute, cette diminution. On n' a pas envie de surmonter sa peine.”

― Shirley Hazzard

Source:
Le Grand Incendie

Citations d'autres auteurs

“Les gens n'aiment pas parler mais, sans aucun doute, ils aiment être écoutés.”

― Donato Carrisi

Source:
L'Écorchée

“Nous sommes tous des imposteurs dans l'ensemble de ce monde, nous prétendons tous être quelque chose que nous ne sommes pas.”

― Richard Bach

“Il n'y a que la mort qui soit vivante dans ce singulier monde qu'on appelle la vie !”

― Jules Barbey d'Aurevilly

Source:
Journal (memoranda) (ed. 1947)

“Une femme n'est puissante que par le degré de malheur dont elle peut punir son amant.”

― Stendhal

Source:
De l'amour ... Seule édition complète, augmentée de préfaces et de fragments entièrement inédits (ed. 1854)

“Mieux vaut franchir les minutes une à une les avaler comme des pilules amères essayer de ne pas penser à toutes celles qui restent.”

― Katarina Mazetti

Source:
Le Mec de la tombe d'à côté

Wikimedia Commons

Shirley Hazzard

Naissance: 30 janvier 1931 (94 ans)

Biographie: Shirley Hazzard, née le 30 janvier 1931, est une auteure de romans et d'essais. Elle détient la citoyenneté britannique et américaine mais elle aime revendiquer aussi ses origines australiennes.

Naissance en 1931

Naissance le 30 janvier

Citation du jour

“Elles étaient à une courte distance de la terre, lorsque la Dame, épuisée, se tourna vers Helga, comme pour lui dire : " Je suis à bout... " Et voici que se passa une chose douloureuse et solennelle. La louve, qui avait compris, prolongea vers la terre proche et inaccessible son hurlement de désespoir... Puis, se dressant, elle posa ses deux pattes de devant sur les épaules de sa maîtresse, qui la prit entre ses bras... Toutes deux s'abîmèrent dans les flots...”

— Renée Vivien

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