Paolo Bacigalupi (2 citations)

“On meurt tous, grinça Tool. On ne fait que choisir comment.”

Source:
Ferrailleurs des mers

“-Vous dites que vous avez enchaîné le monde à vos céréales et vos semences brevetées, que vous nous avez joyeusement esclavagisés et que, finalement, vous vous rendez compte que vous nous menez directement en enfer.”

― Paolo Bacigalupi

Source:
La fille automate

Citations d'autres auteurs

“Un peuple prêt a sacrifier un peu de liberté pour plus de sécurité finit par perdre les deux.”

― Benjamin Franklin

“Pourquoi s'arrêter sur le passé,quand le présent est plus sûr et l'avenir est plus beau?”

― Charlotte Brontë

Source:
Jane Eyre

“L'ingratitude la plus odieuse, mais la plus commune et la plus ancienne, est celle des enfants envers leurs pères.”

― Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues

Source:
Oeuvres completes, revues et augmentees sur les manuscrits, accompagnees de notes (etc.) (ed. 1797)

“Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n'avons jamais été face à une menace fasciste et donc, tout antifascisme n'était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front national, qui était un parti d'extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon, mais nous n'avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste.”

― Lionel Jospin

“Convalescence : état de béatitude fort enviable, pour peu qu'il ne soit précédé d'aucune maladie.”

― Georges Elgozy

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Paolo Bacigalupi

Naissance: 6 août 1972 (53 ans)

Biographie: Paolo Bacigalupi, né le 6 août 1972 à Paonia dans le Colorado, est un romancier américain de science-fiction. Il a obtenu le prix Hugo du meilleur roman 2010, le prix Nebula du meilleur roman 2009, le prix John Wood Campbell Memorial 2010 et le prix Locus du meilleur premier roman 2010 pour La Fille automate.

Naissance en 1972

Naissance le 6 août

Citation du jour

“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”

— Carole Martinez

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