Ken Bruen (32 citations)

“L'enfer, c'est d'avoir raté sa vie.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 21

“Si on souhaite changer de vie, d'état d'esprit, il faut commencer par modifier son comportement.”

Source:
Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 237

“Toutes les femmes jouent la comédie: avec les hommes, elle n'ont guère le choix.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 19

“En réalité, le temps ne passe pas. C'est nous qui passons.”

Source:
Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 219

“Un homme croit qu'il est la seconde personne la plus intelligente du monde. Il ne connaît pas la première.”

Source:
Hackman blues, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 91

“On peut dire tout ce qu'on veut des Irlandais, mais il ne faut pas le leur dire en face.”

Source:
Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 215

“S'il buvait, ce n'était pas à cause de sa propre noirceur, mais bien celle des autres.”

Source:
Toxic Blues, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2005, p. 41

“Un lieu d'austérité est une nécessité absolue.”

Source:
London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 144

“Si on collait plus de baffes, bien des thérapies n'auraient pas lieu d'être.”

Source:
Le Dramaturge, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2007, p. 86

“La compulsion, c'est faire quelque chose de manière répétitive. L'obsession, c'est penser à quelque chose de manière répétitive.”

Source:
London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 9

“C'est vrai: une arme à feu, ça représente le facteur premier de l'égalité.”

Source:
Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 142

“Le véritable legs du suicidé est la culpabilité de ceux qui lui survivent.”

Source:
Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 163

“Je ne crois pas à la fidélité.”

Source:
London Boulevard, ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 248

“Le cœur désire ce qu'il ne contiendra jamais.”

Source:
La main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 147

“Si vous avez besoin de justifier vos amis, c'est que vous même n'en êtes pas un.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 22

“Vous pouvez boire autant que vous voudrez, ce n'est pas ça qui vous donnera une personnalité.”

Source:
La main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 154

“C'est la chaussure qui fait l'homme. Cirée en crachant dessus, jusqu'à qu'on se voie dedans.”

Source:
Delirium Tremens, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2004, p. 77

“Nous croyons faire des choix, alors qu'en réalité nous ne faisons qu'assembler des bribes de conclusions préfabriquées.”

Source:
London Boulevard, Ken Bruen, éd. Fayard, 2008, p. 29

“La technologie a tendance a tout rapetisser.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 53

“La violence engendre le respect.”

Source:
La main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 62

“La différence entre un alcoolo et un junkie, c'est que le premier vous piquera son portefeuille. Le junkie aussi, mais lui, il vous aidera à le chercher.”

Source:
Toxic Blues : Une enquête de Jack Taylor

“La folie est très sous-estimée.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 96

“Ne pas se faire prendre ne signifie pas qu'on s'en sort indemne. Il faut que quelque chose meure en vous pour que le passage à l'acte devienne possible.”

Source:
En effeuillant Baudelaire, Ken Bruen, éd. Fayard, 2007, p. 93

“On ne peut jamais savoir ce que l'on va rencontrer au coin de la rue.”

Source:
Le martyre des Magdalènes, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2006, p. 337

“Les années apportent, à défaut de maturité, tout du moins un sens developpé du ridicule.”

Source:
La main droite du diable, Ken Bruen, éd. Folio policier, 2008, p. 185

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Ken Bruen

Ken Bruen

Naissance: 1951 (73 ans)

Biographie: Ken Bruen est un écrivain irlandais de romans policiers. Il est né en 1951 à Galway.

Personnalité irlandaise

Naissance en 1951

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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