Source: (en)« Steven Spielberg : "Dès que le noir se fait, je suis comme un enfant face à un cadeau de Noël" », Aurélien Ferenczi (propos recueillis par) (trad. Aurélien Ferenczi), Télérama, nº 3303, 15 mai 2013 (lire en ligne)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”