Source: (fr) Heur et malheur des Français, Jacques Bainville, éd. Nouvelle Librairie nationale, 1924, partie 3 « Histoire de France », chap. 4 « La révolution de 987 et l'avènement des Capétiens », p. 327-328 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”