Source: Robespierre textes choisis (1957), Jean Poperen, éd. Éditions sociales, 1974, t. 1 (avril 1791- juillet 1792), p. 145 - Troisième discours sur la guerre, 25 janvier 1792
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”