Source: L'Obsolescence de l'homme (1956), Günther Anders (trad. Christophe David), éd. Encyclopédie des Nuisances, 2002, chap. Sur la bombe et les causes de notre aveuglement face à l'apocalypse, p. 312
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”