Citation de Muriel Barbery

“Telle l'abominable madeleine de Proust, cette bizarrerie pâtissière éparpillée, par un sinistre et terne après-midi, en débris spongieux dans, offense suprême, une cuillerée de tisane, mon souvenir n'est peut-être en définitive associé qu'à un mets médiocre dont seule l'émotion qui lui est attachée demeure précieuse.”

― Muriel Barbery

Source:
Une gourmandise (2000), Muriel Barbery, éd. Folio, 2002, p. 48-49

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Telle l'abominable madeleine de Proust, cette bizarrerie pâtissière éparpillée, par un sinistre et terne après-midi, en débris spongieux dans, offense suprême, une cuillerée de tisane, mon souvenir n'est peut-être en définitive associé qu'à un mets médiocre dont seule l'émotion qui lui est attachée demeure précieuse. - Muriel Barbery

Autres citations de Muriel Barbery

“Ceux qui savent faire font, ceux qui ne savent pas faire enseignent, ceux qui ne savent pas enseigner enseignent aux enseignants et ceux qui ne savent pas enseigner aux enseignants font de la politique.”

― Muriel Barbery

Source:
L'élégance du hérisson

“Je suis toujours fascinée par l'abnégation avec laquelle nous autres humains sommes capables de consacrer une grande énergie à la quête du rien et au brassage de pensées inutiles et absurdes.”

― Muriel Barbery

Source:
L'élégance du hérisson

“Vivre,mourir:ce ne sont que des conséquences de ce qu'on a construit.Ce qui compte,c'est de bien construire.Alors voilà,je me suis donné une nouvelle astreinte.Je vais arrêter de défaire,de déconstruire,je vais me mettre à construire.”

― Muriel Barbery

Source:
L'élégance du hérisson

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Muriel Barbery

Naissance: 28 mai 1969 (55 ans)

Biographie: Muriel Barbery, née le 28 mai 1969 à Casablanca, est une romancière française.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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