Source: Nous autres, modernes : quatre leçons, Alain Finkielkraut, éd. Ellipses, 2005 (ISBN 2-7298-2528-2), partie IV, chap. I, p. 293 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”