Source: Capitale de la douleur suivi de L'amour la poésie (1926), Paul Eluard, éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 978-2-07-030095-2), partie Nouveaux poèmes, L'as de trèfle, p. 101
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”