Source: La Petite Marchande de prose, éd. Gallimard (ISBN 2-07-040368-8), chap. 38, p. 312 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Partie VI : La mort est un processus rectiligne
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”