Jean-Philippe Jaworski (18 citations)

“C'est l'essence même de l'amitié. C'est l'exploitation réaliste des atouts dont nous disposons tous les deux dans les circonstances actuelles dans notre intérêt réciproque. C'est du donnant-donnant.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“L'enfoiré ! Le putain de fils de pute d'enculé ! Après toute la soudure que j'avais déjà envoyée pour lui, me faire porter la médaille ! La charogne rupine ! Le marle crapoteux ! La croqueuse embourdillée !”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Ce qui fait du texte une œuvre d'art c'est avant tout le style.”

― Jean-Philippe Jaworski

“Notre destin, c'était de gagner la guerre, quitte à détruire ce que nous croyions défendre.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“La guerre doit payer la guerre : sans quoi, même le vainqueur en sort navré et à merci de ses ennemis restés hors du pré.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“La vie est bizarrement faite. Elle se contrefout souverainement des convenances, de la décence et des bonnes manières.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Un bon assassin est comme un bon artisan : il aime l'ordre, le tour de main façonné par une longue pratique, la petite routine du quotidien. Le travail ajusté et sans bavure.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Janua Vera

“C'était un lieu secret et perdu, doté d'un charme humble. Un joli coin pour mourir, de façon romanesque, au point du jour ; mais j'en avais plein les bottes et je me disais que crever pour crever, j'aurais pu me passer du détour touristique.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Vous qui êtes en train de me lire, ne le faites vous pas pour vous distraire? Et, quoique vous sachiez que je suis une inqualifiable crapule, n'êtes vous pas un peu mon ami?”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Ce fut ainsi, par la petite porte, que je m'introduisis dans la famille du Podestat.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Toute la troupe s'arrêta un moment, et je réalisai, au flottement presque religieux qui s'empara des cavaliers, que nombre de sergents et d'écuyers n'avaient encore jamais vu la mer.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“La vérité est nécessaire... Oublier, même une catastrophe... c'est le début de la décomposition d'une nation.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“A la longue, l'amertume a fini par germer en moi, comme une plante vénéneuse. ma compétence me devenait suspecte : elle n'était que le levier de mon orgueil. Je vivais dans l'illusion. Je vivais ce qui revient à s'immerger dans l'illusion.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Janua Vera

“Enfin, nous nous sommes endurcis au tour qui donne aux guerriers celtes des dents blanches et une haleine de fauve : nous avons accoutumé à nous rincer la bouche avec notre pisse. Et plus l'urine est vieille, plus nos crocs s'affûtent !”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Rois du monde, tome 1 : Même pas mort

“Bref, on écrit toujours pour de mauvaises raisons. Et on lit de la même manière...”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Janua Vera

“Un héros n'a pas de mérite, au plus il n'est qu'un leurre et qu'un outil.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Je ne mourrais pas seul ; parait que c'est terrible, de calencher esseulé N'empêche : pas si apaisant que ça, de caner collectif.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Gagner la guerre

“Je ne maîtrise pas assez la musique pour traduire en mots ce qui, en moi, est plus vieux que moi.”

― Jean-Philippe Jaworski

Source:
Rois du monde, tome 1 : Même pas mort

Jean-Philippe Jaworski

Wikimedia Commons

Jean-Philippe Jaworski

Naissance: 1969 (54 ans)

Biographie: Jean-Philippe Jaworski est un écrivain français de fantasy né en 1969. Il est également l'auteur de plusieurs jeux de rôles.

Naissance en 1969

Citation du jour

“Elles étaient à une courte distance de la terre, lorsque la Dame, épuisée, se tourna vers Helga, comme pour lui dire : " Je suis à bout... " Et voici que se passa une chose douloureuse et solennelle. La louve, qui avait compris, prolongea vers la terre proche et inaccessible son hurlement de désespoir... Puis, se dressant, elle posa ses deux pattes de devant sur les épaules de sa maîtresse, qui la prit entre ses bras... Toutes deux s'abîmèrent dans les flots...”

— Renée Vivien

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