Source: Le Monde comme volonté et comme représentation, Arthur Schopenhauer (trad. Auguste Burdeau), éd. Presses universitaires de France, 1943, t. 2, p. 296
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”