Source: Boccace, Décaméron, Christian Bec (traduction, introduction et notes sous la direction de), éd. Librairie Générale de France, Paris, 1994, p. 274
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”