Source: Histoire parlementaire de la révolution française, Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Prosper Charles Roux, éd. Paulin, 1793, t. 27, p. 243 - Discours au club des Jacobins du 26 mai 1793
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”