Source: « Les Marchands de gloire » (1925), dans Œuvres complètes I : Théâtre, Marcel Pagnol, éd. de Fallois, 1995 (ISBN 2-87706-221-X), acte IV, scène 2, p. 123 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”