Source: Le Grand-Orient de France. Sa Doctrine et ses Actes, Jean-Baptiste Bidegain, éd. Librairie antisémite, Paris, 1905, chap. Comment et Pourquoi j'ai remis les fiches, p. 11
“On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l'on a été malheureux... Il ne faut pas s'en scandaliser : s'il en était autrement, la vie serait un cauchemar.”