Source: Don Juan ou la vie de Byron (1952), André Maurois, éd. Grasset, coll. Les Cahiers Rouges, 2006 (ISBN 2-246-14564-3), Annus mirabilis, p. 164 - Don Juan ou la vie de Byron, 1952
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”