Mikhaïl Boulgakov (9 citations)

“Il faut reconnaître que, parmi les intellectuels, on rencontre parfois, à titre exceptionnel, des gens intelligents.”

― Mikhaïl Boulgakov

“- Il ne faut rien oublier, pas même les bagatelles.”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Le Maître et Marguerite

“Le morphinomane a un privilège que personne ne peut lui enlever : sa capacité à vivre totalement seul. Et la solitude, ce sont des pensées importantes, significatives, la contemplation, la sérénité, la sagesse.”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Morphine

“Celui qui ne se presse jamais trouve toujours le temps pour tout [...].”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Coeur de chien

“Parce que lui, il ne lui fait pas ça à la papa : il lui inflige l'amour à la française. Entre nous, ces Français, ce sont des cochons, encore qu'ils boustifaillent bien, et toujours avec du vin rouge”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Coeur de chien

“Ecoute ce silence, dit Marguerite, tandis que le sable bruissait légèrement sous ses pieds nus, écoute, et jouis de ce que tu n'as jamais eu de ta vie le calme.”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Le Maître et Marguerite

“Aucune force au monde ne peut obliger une foule à se taire tant qu'elle n'a pas exhalé tout ce qui s'est accumulé en elle et qu'elle ne se tait pas d'elle-même.”

― Mikhaïl Boulgakov

“On a bien tort de vouloir faire de grands projets, ça ne sert à rien !”

― Mikhaïl Boulgakov

“- Certes, l'homme est mortel, dit-il, mais il n'y aurait encore là que demi-mal. Le malheur, c'est que l'homme meurt parfois inopinément. Voilà le hic ! Et d'une manière générale, il est incapable de savoir ce qu'il fera le soir même.”

― Mikhaïl Boulgakov

Source:
Le Maître et Marguerite

Mikhaïl Boulgakov

Wikimedia Commons

Mikhaïl Boulgakov

Naissance: 15 mai 1891

Décès: 10 mars 1940 (à 48 ans)

Biographie: Mikhaïl Afanassievitch Boulgakov, né à Kiev le 15 mai 1891, mort à Moscou le 10 mars 1940, est un écrivain et médecin russe d'origine ukrainienne.

Naissance en 1891

Naissance le 15 mai

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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