Source: Dialogues des carmélites, dans Œuvres romanesques, Georges Bernanos, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1961, acte V, scène 8, p. 1701 - Dialogues des carmélites, 1949
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”