Source: Robespierre textes choisis (1957), Jean Poperen, éd. Éditions sociales, 1974, t. 2 (août 1792-juillet 1793), p. 149 - Discours prononcé à l'assemblée nationale sur le nouveau gouvernement représentatif, 10 mai 1793
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”