| “ Tous, ou presque, vivent la vie qu'on leur écrit d'avance (je sais, c'est banal de le dire), j'ai la faiblesse d'aimer les autres, les rares, les trop rares, qui brisent, qui cassent leur jouet, et, si cela ne donne naissance qu'à un tas de débris, un feu violent, destructeur et bref, tant pis, même si un tel gâchis me désespère au-delà de tout.” Source: Je gagne toujours à la fin (2003), Tristan-Edern Vaquette, éd. Au Diable Vauvert, 2003, chap. 24 (Vaquette baise pas les vieilles), p. 112 |