Source: « Mishima ou la Vision du vide » (1981), dans Essais et mémoires, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1991 (ISBN 2-07-011212-8), p. 260
“Il avait un toucher d'une extrême sensibilité et les notes s'envolaient, aussi aériennes que les perles de la clarinette de Barney. Bigard dans la version de Duke.”