Source: « Quatre-vingt-treize », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie III (« En Vendée »), chap. II (« Gauvain pensif »), livre sixième (« C'est après la Victoire qu'a lieu le combat »), p. 1033-1034
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”