Source: Nous autres, modernes : quatre leçons, Alain Finkielkraut, éd. Ellipses, 2005 (ISBN 2-7298-2528-2), partie I, chap. IV, p. 57 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”