Citation de Jeong Mong-ju

“Je peux mourir mille morts, je meurt que le corps. Mes os peuvent devenir poussière et mon âme ne plus être, mon cœur s'attardera auprès de mon Seigneur.”

― Jeong Mong-ju

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Je peux mourir mille morts, je meurt que le corps. Mes os peuvent devenir poussière et mon âme ne plus être, mon cœur s'attardera auprès de mon Seigneur. - Jeong Mong-ju

Citations d'autres auteurs

“Comme pour l'esprit rien n'est trop grand, pour la bonté rien n'est trop petit.”

― Jean-Paul II

“J'existe même si je n'ai pas le droit d'exister, je suis visible alors même que je vis dans l'ombre.”

― Henning Mankell

Source:
Tea-Bag

“Je sais maintenant Jo, que" l'amour supporte mieux l'absence ou la mort que le doute ou la trahison". (André Maurois)”

― Grégoire Delacourt

Source:
La liste de mes envies

“Ne sommes-nous pas tous là, derrière le masque de notre visage, quelque part dans notre cerveau, attendant d'être découverts ?”

― Joyce Carol Oates

Source:
Journal : 1973-1982

“La perspective de profits démesurés incite les gens à surestimer leurs propres aptitudes.”

― Cormac McCarthy

Source:
Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, Cormack McCarthy, éd. Éditions de l'Olivier, 2006, p. 239

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Jeong Mong-ju

Biographie: Jeong Mong-ju est un politicien et un pionnier du néoconfucianisme du temps de la dynastie Goryeo de Corée. Son nom de plume était Poeun, son nom de courtoisie Dalgha. Il a été Premier ministre de 1390 à 1392, était connu sous le titre de comte Ikyang et est devenu le symbole de la loyauté politique.

Citation du jour

“Avec les femmes, il y a trois étapes : tu les fais rire, tu les fais jouir, tu les fais chier. Et il ne faut jamais passer à la troisième étape avant d'avoir franchi les deux premières.”

— Patrick Timsit

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