Jeong Mong-ju (1 citation)

“Je peux mourir mille morts, je meurt que le corps. Mes os peuvent devenir poussière et mon âme ne plus être, mon cœur s'attardera auprès de mon Seigneur.”

― Jeong Mong-ju

Citations d'autres auteurs

“Moi je tuerais pour toi, et même je me tuerais pour toi.”

― Justine Lévy

Source:
Rien de grave

“— Avec des amis comme toi, je n'ai pas besoin d'ennemis, dit Bones d'un ton acerbe.”

― Jeaniene Frost

Source:
Chasseuse de la nuit, tome 3 : Froid comme une tombe

“Il y a de la noblesse à éprouver son insignifiance, de la noblesse à savoir qu'un coup de vent peut balayer nos vies et ne rien laisser derrière nous, pas même le vague souvenir d'une petite existence.”

― Laurent Gaudé

Source:
Ouragan

“La dictature c'est "ferme ta gueule", la démocratie c'est "cause toujours".”

― Woody Allen

Source:
Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture, Woody Allen (trad. Laurent Outant), éd. France Loisirs, 1973, p. 45

“L'injustice sociale est une évidence si familière, elle est d'une constitution si robuste, qu'elle paraît facilement naturelle à ceux mêmes qui en sont victimes.”

― Marcel Aymé

Jeong Mong-ju

Wikimedia Commons

Jeong Mong-ju

Biographie: Jeong Mong-ju est un politicien et un pionnier du néoconfucianisme du temps de la dynastie Goryeo de Corée. Son nom de plume était Poeun, son nom de courtoisie Dalgha. Il a été Premier ministre de 1390 à 1392, était connu sous le titre de comte Ikyang et est devenu le symbole de la loyauté politique.

Citation du jour

“Une femme trompée n'a pas le droit de se plaindre : déjà, elle est mariée.”

— Michèle Bernier

Auteurs populaires

Autres auteurs populaires

Thèmes populaires