Citation de Julien Gracq
 | Source: Liberté grande. Vergiss mein nicht, Julien Gracq, éd. Galiimard, 1946, p. 281 |
![[...] ou bien dans la chambre où tu t'endors, où soudain tout me déserte et t'oriente selon les mystérieux indices du prochain matin, tu coules au milieu de tes rêves dans l'enivrement d'être si seule, et travaille avec délices pour les voleurs de nuit toute une ruche de mauvaises abeilles. - Julien Gracq](/images-citations/citation-ou-bien-dans-la-chambre-ou-tu-t-endors-ou-soudain-tout-me-deserte-et-t-oriente-selon-les-julien-gracq-193086.jpg "[...] ou bien dans la chambre où tu t'endors, où soudain tout me déserte et t'oriente selon les mystérieux indices du prochain matin, tu coules au milieu de tes rêves dans l'enivrement d'être si seule, et travaille avec délices pour les voleurs de nuit toute une ruche de mauvaises abeilles. - Julien Gracq")
| Source: La forme d'une ville, Julien Gracq, éd. José Corti, 1985 (ISBN 978-2-7143-0302-8), p. 1 |
| Source: La Littérature à l'estomac |
| Source: En lisant en écrivant |
Julien Gracq
Naissance: 27 juillet 1910
Décès: 22 décembre 2007 (à 97 ans)
Biographie: Julien Gracq, de son vrai nom Louis Poirier, né le 27 juillet 1910 à Saint-Florent-le-Vieil et mort le 22 décembre 2007 à Angers, était un écrivain français.
Citation du jour
“Le cinéma est le plus totalitaire des arts. Toute énergie, toute sensation se fait sucer jusqu'au crâne, érection cérébrale, le crâne bouffi de sang. Caligula souhaitait un cou unique pour tous ses sujets afin qu'il puisse décapiter un royaume d'un seul geste. Le cinéma est cet agent transformateur. Le corps n'existe que pour les yeux, il devient une tige sèche qui porte ces deux joyaux mous et insatiables.”
