Citation de Jeanne-A Debats

“Je croise les bras en le fixant d'un air aussi peu amène que le sien. Il me le retourne avec usure. Ça tourne au duel de pupilles, on se croirait dans Le Bon la Brute et le Truand. j'attends les harmonicas d'un instant à l'autre.”

― Jeanne-A Debats

Source:
Métaphysique du Vampire

Citation en image:

Je croise les bras en le fixant d'un air aussi peu amène que le sien. Il me le retourne avec usure. Ça tourne au duel de pupilles, on se croirait dans Le Bon la Brute et le Truand. j'attends les harmonicas d'un instant à l'autre. - Jeanne-A Debats

Autres citations de Jeanne-A Debats

“Voyez-vous, l'amour, ce n'est pas un simple truc encodé par nos synapses et notre chimie interne. Ça n'est pas un virus que notre corps peut décider d'éliminer à l'aide d'anticorps plus ou moins idoines. L'amour c'est nous. Il ne disparaît qu'avec nous.”

― Jeanne-A Debats

Source:
La vieille Anglaise et le continent : Et autres récits

“Elle avait choisi le corps d'un très grand mâle. A son âge, elle ne tenait pas à assumer les conséquences du rut dans la peau d'une femelle dont le partenaire atteindrait les quarante tonnes en moyenne.”

― Jeanne-A Debats

Source:
La Vieille Anglaise et le Continent

“J'ai tout à coup l'impression qu'un colibri bat des ailes contre mon genou gauche, puis remonte le long de ma cuisse. L'oiseau de Paradis n'est pas farouche, il finit en vol stationnaire contre mes parties sensibles.”

― Jeanne-A Debats

Source:
Chasseurs de fantasmes

Toutes les citations de Jeanne-A Debats

Jeanne-A Debats

Naissance: 29 août 1965 (59 ans)

Biographie: Jeanne-A Debats est une romancière de science-fiction française née le 29 août 1965 à Vic-Fezensac. Bien qu'elle ait grandi en région parisienne, où elle a fait ses premières armes de professeur et d’écrivain, Jeanne-A Debats est originaire d'Aquitaine dont elle conserve des traces culturelles profondes.

Citation du jour

“La tête, le cou et la nuque doivent être protégés du soleil ou de la pluie par un équipement vestimentaire approprié parce qu'ils concentrent près de 60% de la déperdition thermique corporelle.”

— Jean-Claude Rodet

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