Citation de Fabrice Robert

“Le militantisme doit s'inscrire sur la durée et non se contenter de suivre le rythme des échéances électorales.”

Source:
« Nous avons tenu nos promesses », Fabrice Robert, Jeune Résistance (ISSN 1279 - 4759), nº 30, printemps 2003, p. 3

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Le militantisme doit s'inscrire sur la durée et non se contenter de suivre le rythme des échéances électorales. - Fabrice Robert

Autres citations de Fabrice Robert

“Qu'importe donc le parti dans lequel on milite de manière conjoncturelle. L'essentiel est ailleurs. Il s'agit de lutter pour des idées plutôt que pour un chef, pour la défense de son identité ethnique plutôt que pour les intérêts bassement électoraux d'un parti.”

― Fabrice Robert

Source:
« L'unité! L'unité! », Fabrice Robert, Jeune Résistance (ISSN 1279 - 4759), nº 22, printemps 2001, p. 2

“Rejetant avec détermination le folklore et la provocation, les JI ont décidé d'inscrire leur combat dans l'action et la formation. Leur démarche se veut constructive, concrète, en phase avec le réel et les véritables préoccupations des jeunes blancs de notre pays.”

― Fabrice Robert

“La chétive détonation qui a retenti ce matin du 14 juillet à l'abord des Champs-Élysée n'était rien d'autre qu'un immense cris de désespoir. Et peut-être même celui de toute une génération. Aujourd'hui, plus de 50% de la population se voit refuser le droit d'être représenté à l'Assemblée nationale. Maxime ne supportant plus de se voir refuser ce droit a décidé de ne plus respecter les règles d'un jeu électoral pipé.”

― Fabrice Robert

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Fabrice Robert

Naissance: 28 octobre 1971 (54 ans)

Biographie: Fabrice Robert, né le 28 octobre 1971 à Orléans, est un militant identitaire français et responsable du Bloc identitaire. Il est également musicien et journaliste.

Citation du jour

“Leur théologie et leurs sacrifices réguliers, avec lesquels ils essayaient d'acheter l'amour de Celles-là, et de s'assurer la bienveillance de Ceux-ci, n'empêchèrent pas qu'un matin de joie, mon pied droit les écrasa, avec leur histoire, leur féroce aristocratie, leurs mutineries, leur langage sacré, leurs chansons populaires, leur théâtre rituel. Et leurs prêtres jamais ne soupçonnèrent que Pieds et Mains étaient les membres d'un même dieu.”

— Octavio Paz

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