Citation de Fidel Castro

“La révolution est dans l'histoire ce qu'est le médecin à la naissance d'une vie nouvelle. Il n'emploie pas sans nécessité le forceps, mais il l'emploie sans hésiter chaque fois que cela est nécessaire pour aider l'enfantement. Cette naissance apporte aux masses asservies et exploitées l'espérance d'une vie meilleure”

― Fidel Castro

Source:
Fidel Castro, 4 février 1962, Seconde Déclaration de La Havane, dans Citations du compañero Fidel : La défense de la Révolution.

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La révolution est dans l'histoire ce qu'est le médecin à la naissance d'une vie nouvelle. Il n'emploie pas sans nécessité le forceps, mais il l'emploie sans hésiter chaque fois que cela est nécessaire pour aider l'enfantement. Cette naissance apporte aux masses asservies et exploitées l'espérance d'une vie meilleure - Fidel Castro

Autres citations de Fidel Castro

“Notre seul orgueil sera d'avoir peut-être été utiles.”

― Fidel Castro

Source:
Fidel Castro; Ignacio Ramonet, Moi, Fidel Castro, entretiens avec Ignacio Ramonet, vol. 2, Un monde nouveau (2004), écrit par Axel Ramonet

“Fidel Castro : J'ai toujours eu une bonne opinon de lui, j'ai toujours considéré Carter comme un homme d'éthique. Je me souviens d'une entrevue qu'il avait accordé à Playboy et ses réponses étaient empreintes d'un esprit très sain. Ignacio Ramonet : Vous êtes lecteur de Playboy commandant? Fidel Castro : [sourire entendu] Non mais je voulais lire cette entrevue de Carter.”

― Fidel Castro

“Personne ne réchappe du fanatisme. Nous avons la chance de ne pas être opposés à des fanatiques, mais à des gens animés par un esprit de calcul.”

― Fidel Castro

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Fidel Castro

Naissance: 13 août 1926 (98 ans)

Biographie: Fidel Alejandro Castro Ruz, né le 13 août 1926, est un dirigeant politique cubain, ancien chef d'État et chef de gouvernement de Cuba.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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