Citation de Fénelon

“Notre langue n'est qu'un mélange de grec, de latin et de tudesque, avec quelques restes confus de gaulois.”

Source:
De l'existence et des attributs de Dieu: entretiens sur la religion, discours philosophique sur l'amour de Dieu, lettre sur divers sujets de métaphysique et de religion. Dialogues sur l'éloquence, mémoire et lettre sur les occupations de l'Académie française, lettre sur les anciens et les modernes, discours de réception à l'Académie française, lettre à Louis XIV. (ed. 1857)

Citation en image:

Notre langue n'est qu'un mélange de grec, de latin et de tudesque, avec quelques restes confus de gaulois. - Fénelon

Autres citations de Fénelon

“Voulez-vous juger un homme ? Observez ses amis.”

― Fénelon

“Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays ; quoiqu'il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien.”

― Fénelon

Source:
« Lettre à l'Académie » (1716), dans Lettres à l'Académie française, Fénelon, éd. Slatkine Reprints, 1970, VIII (« Projet d'un traité sur l'histoire »), p. 111-112 (voir la fiche de référence de l'œuvre)

“La curiosité des enfants est un penchant de la nature qui va comme au-devant de l'instruction ; ne manquez pas d'en profiter.”

― Fénelon

Source:
Oeuvres choisies (ed. 1825)

Toutes les citations de Fénelon

Wikimedia Commons

Fénelon

Naissance: 6 août 1651

Décès: 7 janvier 1715 (à 63 ans)

Biographie: François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, né le 6 août 1651 au château de Fénelon à Sainte-Mondane, mort le 7 janvier 1715 à Cambrai, est un homme d'Église, théologien et écrivain français.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

Auteurs

Thèmes