Citation de Irène Némirovsky

“Ls allaient, venaient d'un mur à un autre, silencieusement, comme les mouches d'automne, quand la chaleur, la lumière et l'été ont passé, volent péniblement, lasses et irritées, aux vitres, traînant leurs ailes mortes.”

― Irène Némirovsky

Source:
Les mouches d'automne

Citation en image:

Ls allaient, venaient d'un mur à un autre, silencieusement, comme les mouches d'automne, quand la chaleur, la lumière et l'été ont passé, volent péniblement, lasses et irritées, aux vitres, traînant leurs ailes mortes. - Irène Némirovsky

Autres citations de Irène Némirovsky

“Mais le mieux pour qu'il vienne (j'entends un véritable amour, honnête et sain) c'est de ne pas trop y penser, de ne pas l'appeler. Sans quoi on se trompe. On met le masque de l'amour sur le premier et le plus vulgaire visage.”

― Irène Némirovsky

Source:
Chaleur du sang

“-" On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci : L'odeur de la mer, le sable sous les doigts...l'air, le vent..."”

― Irène Némirovsky

Source:
Le Vin de solitude

“-Et puis, de n'avoir pas été une enfant quand il était temps de l'être, il semble que l'on ne peut jamais mûrir comme les autres; on est fané d'un côté et vert de l'autre, comme un fruit trop tôt exposé au froid et au vent...”

― Irène Némirovsky

Source:
Le Vin de solitude

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Irène Némirovsky

Naissance: 24 février 1903

Décès: 19 août 1942 (à 39 ans)

Biographie: Irène Némirovsky, née le 24 février 1903 à Kiev et morte le 17 août 1942 à Auschwitz, est une romancière russe d'origine ukrainienne et de langue française.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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