Citation de Brassaï

“Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.”

― Brassaï

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Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art. - Brassaï

Autres citations de Brassaï

“On se demande parfois si la vie a un sens... et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie.”

― Brassaï

“La photographie, c'est la conscience même de la peinture. Elle lui rappelle sans cesse ce qu'elle ne doit pas faire. Que la peinture prenne donc ses responsabilités.”

― Brassaï

Source:
Brassaï: notes et propos sur la photographie (ed. 2000) - ISBN: 9782844260444

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Brassaï

Naissance: 9 septembre 1899

Décès: 8 juillet 1984 (à 84 ans)

Biographie: Brassaï, pseudonyme de Gyula Halász, né le 9 septembre 1899 à Brașov et mort le 8 juillet 1984 à Nice, est un photographe français d'origine austro-hongroise, également dessinateur, peintre, sculpteur et écrivain.

Citation du jour

“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”

— Pascal Quignard

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