Citation de Jean-Christophe Rufin

“La vérité est que l'homme déchu est souillé d'une proportion variable de péché. Certains sont encore perfectibles mais d'autres sont au-delà du rachat. Ils incarnent le mal, voilà tout.”

― Jean-Christophe Rufin

Source:
Rouge Brésil, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard, 2001, p. 420

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La vérité est que l'homme déchu est souillé d'une proportion variable de péché. Certains sont encore perfectibles mais d'autres sont au-delà du rachat. Ils incarnent le mal, voilà tout. - Jean-Christophe Rufin

Autres citations de Jean-Christophe Rufin

“C'est la grande sagesse du peuple, voyez-vous. Les gens ne se dérangent que pour les élections qui ont un sens.”

― Jean-Christophe Rufin

Source:
Globalia, Jean-Christophe Rufin, éd. Folio, 2005 (ISBN 2-07-0309018-5), Kate chez le sénateur, p. 292

“Le cinéma vous donne quelque chose qui est plus proche de la bande dessinée, souvent. Et pour approfondir y'a quand même rien de tel que l'espace du livre, que son silence, que sa durée, que son ampleur, que sa profondeur.”

― Jean-Christophe Rufin

“Les guerres de religion sont toujours une providence pour les criminels. La violence tout à coup devient sainte ; pourvu qu'ils sachent mimer la dévotion, au moins en paroles, licence leur est donnée par un Dieu d'accomplir les infamies dont ils ont longtemps rêvé.”

― Jean-Christophe Rufin

Source:
Rouge Brésil, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard, 2001, p. 435

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Jean-Christophe Rufin

Naissance: 28 juin 1952 (72 ans)

Biographie: Jean-Christophe Rufin, né à Bourges dans le Cher le 28 juin 1952, est un médecin, historien, globe trotteur, écrivain et diplomate français. Il a été élu en 2008 à l'Académie française dont il devient alors le plus jeune membre.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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