Citation de Nicolas Schöffer

“La société ne subira plus son destin, elle le créera.”

― Nicolas Schöffer

Source:
La Ville cybernétique (1969), Nicolas Schöffer, éd. Denoël, 1972, p. 1ère de couverture

Citation en image:

La société ne subira plus son destin, elle le créera. - Nicolas Schöffer

Autres citations de Nicolas Schöffer

“Plus notre environnement est sculpté, plus son efficience augmente et plus il est logique d'envisager que tout ce qui est bâti et construit par l'homme doit être sculpté.”

― Nicolas Schöffer

Source:
La Ville cybernétique (1969), Nicolas Schöffer, éd. Denoël, 1972, p. 162

“L'explosion démographique a mis en évidence un phénomène nouveau et grave dans la société occidentale : le nombre des médiocrisés se multiplie à mesure que celui des humains augmente, bien que le pourcentage entre l'élite et les médiocrisés reste le même.”

― Nicolas Schöffer

Source:
La Ville cybernétique (1969), Nicolas Schöffer, éd. Denoël, 1972, p. 14

“N'oublions pas que nous n'avons vécu que trois millions d'années. C'est peu de chose auprès de six milliards d'années possibles. Le développement initial de l'homme pendant ces premiers millions d'années n'est qu'un saut de puce par rapport à celui qui suivra, si toutefois...”

― Nicolas Schöffer

Source:
La Théorie des miroirs, Nicolas Schöffer, éd. Belfond, 1982 (ISBN 2-7144-1466-4), p. 121

Toutes les citations de Nicolas Schöffer

Nicolas Schöffer

Naissance: 6 septembre 1912

Décès: 8 janvier 1992 (à 79 ans)

Biographie: Nicolas Schöffer, né le 6 septembre 1912 à Kalocsa en Hongrie, et mort le 8 janvier 1992 à Paris, est un sculpteur et plasticien français d'origine hongroise.

Citation du jour

“Le cinéma est le plus totalitaire des arts. Toute énergie, toute sensation se fait sucer jusqu'au crâne, érection cérébrale, le crâne bouffi de sang. Caligula souhaitait un cou unique pour tous ses sujets afin qu'il puisse décapiter un royaume d'un seul geste. Le cinéma est cet agent transformateur. Le corps n'existe que pour les yeux, il devient une tige sèche qui porte ces deux joyaux mous et insatiables.”

— Jim Morrison

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