Pierre-Jakez Hélias (4 citations)

“Il y a trois sortes d'hommes : les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer. PLATON”

― Pierre-Jakez Hélias

Source:
L'Herbe d'or

“Il n'est pas interdit de paraître plus qu'on est dès l'instant qu'on a décidé de faire ce qu'il faut pour devenir effectivement ce qu'on paraît être.”

― Pierre-Jakez Hélias

“Il est plus facile d'être de son temps que d'être de quelque part.”

― Pierre-Jakez Hélias

Source:
Le cheval d'orgueil

“Ils étaient placés au bas de l'échelle, la meilleure place pour cracher à l'aise.”

― Pierre-Jakez Hélias

Source:
Le cheval d'orgueil

Citations d'autres auteurs

“Croire en une source diabolique supernaturelle n'est pas nécessaire ; les hommes sont capables de toutes ces méchancetés par eux-mêmes.”

― Joseph Conrad

“On greffe de tout aujourd'hui, des reins, des bras, un cœur. Sauf les couilles. Par manque de donneur.”

― Jacques Chirac

“On ne se remet pas jamais de la disparition des êtres chers, on vit juste sans eux en espérant combler les vides.”

― Franck Thilliez

Source:
Atomka

“C'était un mercredi, le plus beau jour de la semaine, car nos jours ne sont beaux que par leurs lendemains.”

― Marcel Pagnol

Source:
Souvenirs d'enfance, Tome 1 : La Gloire de mon père

“Comme l'abeille butine et enrichit sa ruche - de tous ses désirs qui le prennent dans la rue -, un amoureux enrichit son amour.”

― Raymond Radiguet

Source:
Le Diable au corps (1923), Raymond Radiguet, éd. Librio, 2003 (ISBN 2-290-33962-8), p. 74

Pierre-Jakez Hélias

Pierre-Jakez Hélias

Naissance: 17 février 1914

Décès: 13 août 1995 (à 81 ans)

Biographie: Pierre-Jakez Hélias, en breton Per-Jakez Helias, pour l'état-civil Pierre-Jacques Hélias, né le 17 février 1914 à Pouldreuzic, mort le 13 août 1995 à Quimper, est un journaliste, homme de lettres et folkloriste de langues bretonne et française. Il est particulièrement connu pour son livre Le Cheval d'orgueil, adapté au cinéma par Claude Chabrol en 1980.

Naissance en 1914

Naissance le 17 février

Citation du jour

“Je les vis s'éloigner bras dessus, bras dessous et disparaître dans la rue, et me dis qu'il se trouvait peut-être au ciel un être de garde qui avait décidé d'accorder à ces deux-là trois ou quatre gouttes de bonheur.”

— Carlos Ruiz Zafón

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