Source: (fr) L'agression : une histoire naturelle du mal (1969), Konrad Lorenz (trad. Vilma Fritsch), éd. Flammarion, coll. Champs, 1983 (ISBN 978-2-0812-3498-7), p. 132
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”