Source: Le Château de ma mère, Marcel Pagnol, éd. Fallois, 1988 (ISBN 2-877-06051-9), p. 215 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Le Château de ma mère, 1957
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”