Source: « Discours sur la Négritude » (1987), dans Discours sur le Colonialisme, Aimé Césaire, éd. Présence africaine, 1989 (ISBN 2-7087-0531-8), p. 84-85
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”