Source: Le Neveu de Wittgenstein (1982), Thomas Bernhard (trad. Jean-Claude Hémery), éd. Gallimard, coll. Du monde entier, 1985 (ISBN 2-07-070200-6), p. 42
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”