Source: La plaisanterie (1967), Milan Kundera (trad. Marcel Aymonin révision par Claude Courtot et Milan Kundera), éd. Gallimard, Folio (n°638), 2001 réédité en 2007 (ISBN 2070366383), p. 273
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”