Source: (en) Les Raisins de la colère (1939), John Steinbeck (trad. Marcel Duhamel et M-E Coindreau), éd. Gallimard, 1947 (ISBN 978-2-07-026070-6), p. 210
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”