Source: Aphorismes sur la sagesse dans la vie, Arthur Schopenhauer (trad. J.-A Cantacuzène), éd. Félix Alcan, 1924, chap. V (« Parénèses et maximes », II (« Concernant notre conduite envers nous-même », p. 174 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”