Source: Le Mariage de Figaro (1989), Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, éd. Le Livre de poche, 1999, acte III, scène 16, p. 182 - Le Mariage de Figaro, 1778
“C'est à l'animus qu'appartiennent les projets et les soucis, deux manières de n'être pas présent à soi-même. À l'anima appartient la rêverie qui vit le présent des heureuses images.”