Source: « À quoi bon les richesses ? », dans Comment je vois le monde (1934-1958), Albert Einstein (trad. Maurice Solovine, rév. Régis Hanrion), éd. Flammarion, coll. « Champs », 1989 [1979] (ISBN 2-08-081183-5), chap. 1 « Comment je vois le monde », p. 11
“Il perdait son emprise sur le monde comme sur moi et, à l'instar d'un grand nombre de personnes auxquelles cela arrive, il croyait à tort avoir atteint une certaine sagesse.”