| “ Le scandale, non seulement n'est pas à fuir, mais encore, mais au contraire, il doit être reconnu d'utilité publique. Il ne s'ensuit d'ailleurs pas qu'il faille s'y limiter, le limiter à lui-même. Vouloir le scandale pour le scandale, ce serait encore choisir une retraite, ce serait pétrifier une phase, arrêter un mouvement, donc se castrer du possible, du nouveau et déclarer la guerre au temps à venir. Ce serait, en somme, tirer de simples feux d'artifices contre un état de choses à réduire sans pitié.” Source: « Note en marge du jeu de la vérité », René Crevel, Documents 34, nº 20, Avril 1934, p. 23 |